Bernard Favre, élève médiocre et bon apprenti
J’ai été un élève médiocre et maladif (153 jours de maladie), j’ai quitter l’école avec deux années de retard sur le programme
scolaire.
En 1963, j’ai commencé un apprentissage de monteur-électricien que j’ai achevé avec l’obtention du certificat fédéral de
capacité. J’ai dû piocher ferme pour rattraper le retard scolaire.
Cela signifie que l’école n’est qu’une période de la vie, certes importante, mais pas nécessairement la principale.
Être un élève médiocre n’est pas une raison pour baisser les bras.
J’ai réussi parce que je savais écouter et obéir et qu'apprendre était une motivation pour persévérer.
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Ich war eine mittelmässige und kränker Schüler (153 Tage Krankheit) und verliess die Schule mit
zwei Jahren Rückstand.
1963 begann ich eine Lehre als Elektromonteur, die ich mit dem das Eidgenössische
Fähigkeitszeugnis (EFZ) abschloss. Ich musste hart krampfen, und der schulischer Rückstand
nachzuholen.
Dies bedeutet, dass die Schule nur ein Lebensabschnitt ist, sicherlich wichtig, aber nicht unbedingt
der wichtigste.
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Ein mittelmässiger Schüler zu sein, ist kein Grund die Hände in den Schoss legen.
Ich hatte Erfolg, weil ich hören und gehorchen könnte und das lernen eine Motivation ist,
durchzuhalten.
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