Lausanne les Trentes Glorieuses, ou grandeur et décadence d'une paysanne citadine.
A priori.
Ne vous attendez pas dans les pages suivantes à trouver des détails croustillants, des critiques,
des addenda ou des remises en cause.
J’aime jeter un coup- d’oeil sur le passé, pour comprendre le présent et prévoir l’avenir. Mais en
aucun cas pour parler du «ꢀbon vieux tempsꢀ», qui est une expression débile.
Le livre de Laurent sert de fil conducteur pour commenter des phénomènes sociétaux cités par
le Baron, mais selon mon point de vue.
Avant-proposꢀ:
En fouinant sur la toile à la recherche de document pour mon site internet (www.favreber.ch –
lausanne avantꢀ), j’ai saisi comme mot de recherche «ꢀLe Baronꢀ» et découvert qu’il racontait sa
vie dans un livre, j’en ai eu le souffle coupéꢀ!
La réputation sulfureuse du Baron dans la «ꢀjet-setꢀ» vaudoise était un secret de polichinelle.
On savait aussi, que ce n’était pas un coureur de jupons qui trainait dans les parcs la nuit.
Certains bourgeois haut placés on dut avoir les chocottes, à l'idée que le Baron allait déballer sa
vie dans un livre.
Mais «ꢀl’aristocratie vaudoiseꢀ» peut dormir tranquille, le Baron est tenu en laisse, le livre ayant
été édité avec le soutien de l’État de Vaud.
Personnellementꢀ:
Le Baron, je l’ai croisé une fois en coup de vent à la Taverne je crois.
Le Johnnie's, j’y ai mis les pieds un quart d’heure une fois, car je n’aime pas les discos quels
que soient leurs genres.
B.Favre; 26.02.19; Version 0.1; trentes_glorieuses, page 3 / 3